empowerment au travail

10 conseils d’empowerment au travail

L’empowerment au travail ou autonomisation est le résultat d’un processus de connaissance de soi et de validation de ses propres capacités dans l’exercice de son rôle professionnel. Il ne s’agit pas de s’auto-congratuler ou de gonfler notre perception de qui nous sommes en tant que collaborateurs ou de ce que nous pouvons faire : une responsabilisation saine au travail nous aide à nous mettre à notre place, à affirmer nos compétences et à mettre notre propre développement professionnel au service des objectifs de l’entreprise. 

Comment puis-je renforcer mon empowerment au travail ?

Comme nous le disons toujours, il n’y a pas de recettes magiques ou de raccourcis pour s’épanouir au travail ni, bien sûr, pour se convaincre de sa valeur ou de ses capacités. Cependant, voici 10 suggestions que vous pouvez prendre en compte pour augmenter votre niveau d’empowerment au travail. 

enpowerment au travail

1. Connaître ses capacités

Nous pouvons former des talents sans même être conscients que nous les avons ou que nous les développons. Cependant, il semble qu’il soit beaucoup plus efficace de connaître ses points forts pour les utiliser, les affirmer, les développer ou, pourquoi pas, les apprécier. 

2. Avoir confiance en ses capacités

Pour atteindre un niveau de responsabilisation au travail adapté à notre bien-être, il ne suffit pas de savoir si l’on est un bon travailleur, ou ce que l’on sait faire : il y a quelque chose de plus, et ce quelque chose de plus, c’est la confiance, cette expérience plus émotionnelle qui nous met en relation avec nos qualités, celles que l’on sait avoir et celles que l’on ne connaît pas encore, et qui nous permet d’aller de l’avant. 

3. Faire confiance au processus

Se sentir puissant ne signifie pas que l’on doit pouvoir tout faire, ni que l’on doit pouvoir le faire tout de suite. Nous devons être conscients du rythme des choses et des autres personnes et cultiver une attitude patiente et optimiste, en ayant confiance que parfois, même si cela ne semble pas être le cas, nous allons dans la bonne direction, celle qui nous mène vers nos objectifs de travail. 

4. Profiter des opportunités de développement

Personne n’augmente son autonomie au travail simplement en le souhaitant ou en évoluant exclusivement dans sa petite sphère professionnelle. L’autonomie naît de la croissance, de l’expérimentation et, bien sûr, de toutes les occasions d’exercer ce que l’on sait et de vérifier si l’on a telle ou telle capacité. 

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5. N’attendez pas (éternellement) le meilleur moment

Nous venons de le préciser : être prudent et ne pas faire de folies, c’est bien, mais ne soyez pas paralysé, expérimentez, testez, n’ayez pas peur plus que de raison. Il y a des moments où nous sommes sûrs de ne pas être prêts à assumer une certaine responsabilité, et il n’y a pas de mal à s’arrêter. D’autres fois, ce n’est pas aussi clair, et nous ne savons pas ce pour quoi nous sommes prêts tant que nous ne l’avons pas fait. 

6. Ressentir le pouvoir de manière réaliste

Et nous continuons la chaîne. Si vous connaissez vos capacités après les avoir analysées avec sérénité et que vous avez développé une confiance suffisante en elles pour vous permettre de vous exposer à certains défis en toute sécurité, il est alors possible d’évoluer avec un pouvoir réaliste au travail. 

7. Développez votre capacité critique

Dans notre vie, nous sommes tous – y compris nous-mêmes – constamment en train de donner notre avis sur nos capacités, sur ce que nous sommes appelés à faire, sur ce que nous ne sommes pas appelés à faire, sur la manière dont nous devrions nous évaluer… C’est pourquoi il est important de développer une capacité critique adéquate afin de ne pas confondre les conclusions, de ne pas croire tout ce que l’on nous dit (surtout les mauvaises choses) et de stimuler notre développement professionnel. 

8. Recherchez un mentorat approprié

Pour atteindre un bon degré d’empowerment au travail, il est essentiel d’avoir quelqu’un qui nous rappelle qui nous sommes, qui nous aide à trouver des réponses et des pistes et qui nous donne de bons exemples sur la façon d’exercer le pouvoir de manière saine dans nos carrières professionnelles. Cette personne, formelle ou informelle, est celle qui fournit un bon mentorat

9. Différence entre l’empowerment des autres et l’empowerment personnel

Comme nous l’avons laissé entendre à différents moments de cette liste, nous ne devons pas oublier que nous pouvons tous, dans un certain sens, jouer le rôle de mentor pour d’autres collègues, qu’ils soient ou non au même niveau hiérarchique que nous. L’autonomisation au travail ne concerne pas seulement ma propre croissance, mais aussi l’influence que nous avons sur la croissance des autres. 

10. Ne vous contentez pas de penser à vos capacités : exercez-les.

L’empowerment au travail est le processus d’acquisition de compétences (capacité, autonomie, connaissance, solvabilité) et la conscience de les posséder. Mais c’est aussi l’exercice de ces capacités, qui permet d’aller de l’avant, de générer les meilleurs résultats et d’entretenir le cercle vertueux de son développement professionnel. 

Promouvoir l’empowerment des collaborateurs au travail 

Atteindre un niveau acceptable et surtout utile d’empowerment au travail est une responsabilité individuelle, mais cela ne signifie pas que nous soyons seuls à le faire : le soutien et la coopération des autres sont indispensables pour y parvenir

C’est pourquoi les chefs d’équipe et, surtout, les responsables du département des ressources humaines doivent être conscients que nous influençons tous la responsabilisation au travail des autres et que nous pouvons promouvoir le développement de chacun. 

Si vous êtes responsable de personnes, gardez cela à l’esprit, par exemple à travers les trois aspects suivants.  

Mesures pour renforcer l’autonomie au travail
1.Évaluation des performancesUtilisez les évaluations des performances pour apporter une reconnaissance et un feedback, permettant aux collaborateurs d’apprendre, de développer et de mettre en œuvre leurs compétences actuelles et futures.
2.Opportunités de croissanceS’engager à donner des opportunités de manière progressive et contrôlée. On ne peut jamais être sûr de ce qu’une personne sera capable de réaliser tant qu’on ne lui confie pas de nouvelles responsabilités qui stimulent son développement professionnel et les réalisations de l’équipe.
3.Modélisation de l’empowermentServir de modèle pour la confiance en soi et la bonne gestion des situations difficiles. Les collaborateurs doivent avoir des modèles inspirants dans leur équipe et, bien sûr, apprendre par une émulation constructive.

Dans ce contexte, les solutions de bien-être mental en entreprise apparaissent comme un outil précieux sur le lieu de travail, offrant des avantages significatifs au-delà de la santé mentale individuelle.

En effet, en participant à des séances thérapeutiques, les collaborateurs ont la possibilité d’explorer et de mieux comprendre leurs forces et leurs difficultés personnelles, ce qui contribue à une plus grande autonomie au travail.

En cultivant la conscience de soi et la gestion des émotions, les employés peuvent affronter les situations professionnelles avec plus de confiance et de sécurité. La psychothérapie joue un rôle clé à cet égard, car c’est l’espace dans lequel les gens peuvent réfléchir, apprendre à se connaître et se fixer des objectifs.

Ainsi, les entreprises qui tirent parti de ce lien entre la thérapie psychologique et la capacité à renforcer l’autonomie au travail constatent un environnement de travail plus positif, dans lequel les collaborateurs se sentent capables d’apporter une contribution significative. Et, bien sûr, cela a un impact positif sur la productivité des employés et leur satisfaction au travail.

L'empowerment au travail

Favoriser le bien-être émotionnel dans les organisations

L’empowerment au travail nous permet d’atteindre les objectifs de l’entreprise et d’apprécier notre expérience en tant que collaborateurs, en évitant le stress au travail et le « syndrome de l’imposteur« . Cependant, elle n’est pas toujours facile à obtenir ni régulière, mais doit être activement encouragée.  

Chez ifeel, nous travaillons en partenariat avec des entreprises du monde entier pour inspirer la croissance humaine et guider les organisations dans l’instauration d’une culture positive du bien-être mental. Une approche sur mesure et centrée sur les personnes qui place la santé de vos collaborateurs au centre, en tant que pilier fondamental pour attirer et retenir les talents ainsi que pour renforcer leur sentiment d’appartenance. 

Une solution unique, complète et évolutive qui utilise la puissance des données pour fournir une compréhension holistique du bien-être psychologique de vos employés, tout en garantissant la qualité du service et la confidentialité pour votre équipe.

Nous espérons que cet article sur l’empowerment au travail vous a intéressé. Si vous souhaitez obtenir plus d’informations sur les solutions d’ifeel en matière de bien-être mental pour les entreprises, il vous suffit de demander et nous contacterons votre équipe dans les plus brefs délais.

Qu’est-ce que l’empowerment au travail ?

C’est le résultat d’un processus personnel au cours duquel je prends conscience de mes capacités, je les valorise de manière appropriée et je construis une perception d’efficacité et de valeur qui me permet d’accomplir mes tâches avec succès.

Comment les managers peuvent-ils responsabiliser leur équipe ?

Il est essentiel de motiver, de reconnaître et de donner des opportunités à l’équipe. Toutefois, il est toujours bon que les managers reçoivent des conseils de psychologues professionnels afin d’améliorer les capacités de leur équipe.

La responsabilisation au travail améliore-t-elle les performances ?

Bien sûr : elle influence notre motivation et notre implication dans les tâches, nous permet de nous développer professionnellement et de mieux défendre ce que nous faisons et ce dont nous avons besoin.

Comment puis-je renforcer mon empowerment au travail ?

L’empowerment est un processus et il ne suffit pas d’y « croire ». Il implique de découvrir, d’exercer et d’expérimenter à un niveau émotionnel nos capacités, nos marges de croissance et nos réalisations.

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